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Siècle des Lumières
Terme qui désigne le XVIIIesiècle en tant que période de l'histoire de la culture européenne, marquée par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences, ainsi que par la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse, principaux éléments de l'idéologie politique qui fut au fondement de la Révolution française.
L'expression était déjà fréquemment employée par les écrivains de l'époque, convaincus qu'ils venaient d'émerger de siècles d'obscurité et d'ignorance et d'entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et le respect de l'humanité. Les précurseurs Les philosophes rationalistes du XVIIesiècle, tels que René Descartes et Baruch Spinoza, les philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke, et certains penseurs sceptiques en France comme Pierre Bayle peuvent être considérés comme les précurseurs des Lumières, bien que certains éléments de leurs doctrines qui allaient à l'encontre des conceptions empiristes et antiautoritaires des penseurs du XVIIIesiècle eussent été rejetés par ces derniers. Les découvertes scientifiques et le relativisme culturel lié à l'étude des civilisations non européennes contribuèrent également à la naissance de l'esprit des Lumières.
Le cadre historique
Les événements qui délimitent le siècle des lumières sont la mort de Louis XIV, en 1715, et le coup d'état perpétré par Napoléon Bonaparte, le 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799), annonciateur de l'empire. Entre ces deux extrêmes, le siècle se décompose en plusieurs temps : d'abord la régence (1715 - 1723), puis les règnes de Louis XV (1723 - 1774) et de Louis XVI (1774 - 1791), enfin la révolution française (1789 - 1799).
La France, qui est alors le pays le plus peuplé d'Europe, connaît, pendant près de quatre-vingts ans, la paix intérieure et la prospérité économique. A mesure que l'esprit philosophique se développe, dans les salons, les cafés ou les club, l'autorité monarchique se dissout, sapée par des tentatives de réformes sans lendemain, comme par l'opposition aristocratique. Forte de sa puissance financière, la bourgeoisie d'affaires manifeste son désir d'annexer le pouvoir politique, ambition qui se concrétisera à partir de 1789.
Dans le domaine des arts, Louis XIV vieillissant voulait "de l'enfance répandue en toutes choses". Sous la régence, cette tendance à la légèreté s'accentue. Elle s'épanouit pendant le règne de Louis XV. Le goût de l'élégance, du confort, et des beaux objets se répand jusque dans les rangs de la bourgeoisie. Mais, dans la seconde moitié du siècle, les philosophes s'insurgent contre les tendances libertines de la société, auxquelles ils associent le style rocaille. Ils prônent un retour aux vertus de la Rome antique et républicaine, qui deviendront en grande partie l'idéal révolutionnaire.
La raison et le progrès
La plus importante des hypothèses et espérances communes aux philosophes et intellectuels de cette époque fut incontestablement la foi inébranlable dans le pouvoir de la raison humaine. La découverte de la gravitation universelle par Isaac Newton fit une impression considérable sur le siècle. Si l'humanité était en mesure de révéler les lois de l'Univers, elle pouvait espérer découvrir les lois propres à la nature et à la société humaine. On en vint à croire que, grâce à l'usage judicieux de la raison, s'ouvrait la perspective d'un progrès perpétuel dans le domaine de la connaissance, des réalisations techniques et des valeurs morales. Dans le sillage de la philosophie de Locke, les penseurs du XVIIIesiècle considéraient, à la différence de Descartes, que la connaissance, loin d'être innée, procédait uniquement de l'expérience et de l'observation guidées par la raison. Ils affirmaient que l'éducation avait le pouvoir de rendre les hommes meilleurs et même d'améliorer la nature humaine. La recherche de la vérité devait se poursuivre dorénavant par l'observation de la nature plutôt que par l'étude de sources autorisées telles qu'Aristote et la Bible. S'ils voyaient dans l'Église, et en particulier dans l'Église catholique romaine, la principale force qui avait tenu l'esprit humain dans l'esclavage par le passé, la plupart des penseurs des Lumières ne renoncèrent pas complètement à la religion. Ils adoptèrent plutôt une forme de déisme, acceptant l'existence de Dieu et d'un au-delà, mais rejetèrent les arcanes de la théologie chrétienne. Les aspirations humaines, pensaient-ils, ne devraient pas porter sur un avenir lointain, mais sur les moyens d'améliorer la vie présente. Aussi le bonheur sur terre était-il placé au-dessus du salut religieux. Ils n'attaquèrent rien avec autant de violence et de férocité que l'Église, sa richesse, son pouvoir politique et sa volonté d'entraver le libre exercice de la raison. Une méthode de pensée Plus qu'un ensemble d'idées déterminées, les Lumières impliquaient une attitude, une méthode de pensée. Selon Emmanuel Kant, le mot d'ordre du siècle devait être « ose savoir »: il apparut le désir de réexaminer et de remettre en question toutes les idées et valeurs reçues, d'explorer de nouvelles idées dans des directions différentes. Dès lors, les incohérences et les contradictions furent nombreuses dans les écrits des penseurs du XVIIIesiècle. Ceux-ci n'étaient pas tous philosophes à proprement parler ; ils étaient des vulgarisateurs qui s'engageaient à diffuser des idées nouvelles. Ils aimaient à se qualifier de « parti de l'humanité » et, pour s'attirer la faveur de l'opinion publique, ils écrivaient des pamphlets, des tracts anonymes et rédigeaient des articles pour des revues et des journaux fraîchement créés. Un mouvement cosmopolite La France constituait le centre de ce mouvement philosophique, dont un des premiers représentants fut le philosophe politique et juriste Charles de Montesquieu. Après des œuvres satiriques sur les revers de la civilisation occidentale, il publia son étude monumentale, De l'esprit des lois (1748). Denis Diderot, qui était l'auteur de quantité de pamphlets philosophiques, entama la publication de l'Encyclopédie (1751-1772). Cette œuvre, à laquelle collaborèrent de nombreux philosophes, était conçue à la fois comme une somme de toutes les connaissances et comme une arme polémique. Le plus influent et le plus représentatif des écrivains français fut Voltaire. Auteur dramatique et poète à ses débuts, il devint célèbre pour ses nombreux pamphlets, ses essais, ses satires, ses contes philosophiques et pour son immense correspondance avec des écrivains et des monarques de toute l'Europe. Les œuvres de Jean-Jacques Rousseau, notamment le Contrat social, (1762), l'Émile (1762), et les Confessions (1782) exercèrent une profonde influence sur la pensée politique et sur la théorie de l'éducation, et donnèrent une impulsion au romantisme du XIXesiècle. Le mouvement intellectuel des Lumières se distingua par son caractère profondément cosmopolite et antinationaliste. Kant en Allemagne, David Hume en Écosse, Cesare Beccaria en Italie et Benjamin Franklin et Thomas Jefferson dans les colonies britanniques d'Amérique entretenaient tous d'étroits contacts avec les philosophes français, tout en collaborant eux-mêmes activement au mouvement. Durant la première moitié du XVIIIesiècle, plusieurs chefs de file des Lumières furent emprisonnés pour leurs écrits, et la plupart d'entre eux durent approuver la censure gouvernementale et les attaques de l'Église. Les dernières décennies du siècle furent cependant marquées par le triomphe du mouvement en Europe et en Amérique. Dans les années 1770, les philosophes de la seconde génération recevaient des pensions gouvernementales et prenaient le contrôle d'institutions culturelles prestigieuses. L'augmentation spectaculaire du nombre de journaux et de livres publiés garantissait leurs idées à une large diffusion. Les expériences scientifiques et les écrits philosophiques étaient à la mode dans de nombreuses couches sociales, même auprès de la noblesse et du clergé. Un certain nombre de monarques européens adoptèrent aussi quelques-unes des idées ou, du moins, du vocabulaire des Lumières. Voltaire et d'autres philosophes, qui affectionnaient l'idée du roi philosophe éclairant le peuple d'en haut, accueillirent avec enthousiasme l'apparition des soi-disant despotes éclairés, dont FrédéricII de Prusse, CatherineII la Grande de Russie, et JosephII d'Autriche. Les sources de la Révolution Vers la fin du XVIIIesiècle, des changements importants se produisirent dans la pensée des Lumières. Sous l'influence de Rousseau, le sentiment et l'émotion devinrent aussi respectables que la raison. Dans les années 1770, les écrivains étendirent le champ de leurs critiques aux questions politiques et économiques. La guerre de l'Indépendance américaine ne manqua pas de frapper les esprits. Aux yeux des Européens, la déclaration d'Indépendance et la guerre révolutionnaire représentaient, pour la première fois, la mise en œuvre des idées éclairées et encouragèrent les mouvements politiques dirigés contre les régimes établis en Europe. De l'avis général, le siècle des Lumières aboutit à la Révolution française de 1789. Comme elle incarnait de nombreux idéaux des philosophes, la Révolution, dans ses phases de violence entre 1792 et 1794, discrédita provisoirement ces idéaux aux yeux de nombre de contemporains européens. Pourtant, les Lumières léguèrent un héritage durable aux XIXe et XXesiècles. Le XVIIIesiècle marqua le déclin de l'Église, ouvrit la voie au libéralisme politique et économique, et suscita des changements démocratiques dans le monde occidental du XIXesiècle. Le siècle des Lumières apparaît ainsi à la fois comme un mouvement intellectuel et une période historique marquée par des événements décisifs.
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Pour ou contre la peine de mort?
La peine de mort ou la peine capitale c'est condamner(juger) un crimilel à la mort. Dpuis toujoursb ce hugement a suscité des positions diverses. Certains sont pour l'application de cette peine d'autres sont contre. Voici les arguments de chaque partie:
Contre la peine de mort
1. la vie est sacrée, nul ne peut y attenter, même l’Etat
2. on peut traiter des malades mentaux, et les réinsérer dans la société. Pourquoi les tuer ?
3. il est intolérable que, dans une société démocratique, des innocents soient condamnés à mort à tort.
4. la peine de mort ne réduit pas le taux de criminalité
5. regardons où la peine de mort est maintenue, et nous aurons une idée de sa valeur (Chine, Texas, etc)
6. la violence n’est pas la solution contre la violence.
7. les pays de l’Europe des 15 ont tous aboli la peine de mort et ratifié le deuxième protocole au Pacte Internationale des Droits Civils et Politiques, excepté la France.
8. parmi les 43 pays qui ont adhéré au Conseil de l’Europe, 40 ont aboli la peine de mort et 3 pays sont sur la voie de l’abolition
9. la peine de mort, c’est favoriser les envies de vengeance au détriment de la raison
10. l’attente dans les couloirs de la mort, ces prisons pour condamnés à mort, sont de la torture pure et simple
11. elle est trop souvent appliquée suite à des procès injustes, voire truqués
12. la peine de mort n’est pas un moyen de légitime défense : elle permet à l’Etat de mettre froidement à mort une personne hors d’état de nuire, parce que déjà arrêtée.
Pour la peine de mort
1. la peine de perpétuité est tout aussi inhumaine : c’est condamner à vivre, tout en sachant qu’on ne sortira jamais. En prison à perpétuité, le condamné perd le peu d’humanité qui lui restait, et devient un animal.
2. un meurtrier, un violeur etc n’a jamais l’impression d’avoir fait du mal, on ne peut attendre qu’il mette lui-même un terme à ses jours
3. il n’existe aucune garantie que les condamnés à mort ou à perpétuité (selon les pays) ne commettront pas à nouveaux leurs crimes s’ils sortent, même très vieux. Mieux vaut supprimer totalement cette probabilité, même si elle est infime. 4. mieux vaut une erreur judiciaire et la condamnation à mort d’un suspect, que la mort de nouvelles victimes qui n’auront même pas eu la chance de passer devant un tribunal. Il y aura toujours plus de victimes de récidivistes libérés après une peine plus ou moins longue, que de condamnés à mort par erreur.
5. pour un criminel qui deviendra un ange, combien seront libérés sous serment et recommenceront une, dix, cent fois avant d’être repris ?
6. la majorité de la population est pour son rétablissement en France
7. cela ne fait pas revenir la victime, mais au moins les familles de victimes sont apaisées, car elles savent qu’il n’est plus possible que ce mal frappe à nouveau.
8. pour l’exemplarité.
9. il est choquant de payer pour des meurtriers que l’on garde en prison (à moins qu’ils ne paient leur dette contractée envers la société par des travaux d’intérêt généraux par exemple).
10. un récidiviste libéré peut, dans sa vie privée, même s’il se conduit bien dans sa vie publique, reproduire le cercle vicieux dont il a été lui-même victime : personne ne sera là pour vérifier qu’il ne bat pas ses enfants, ou pire, par exemple. Il s’agit donc aussi de casser ce cercle vicieux de la reproduction dont les psy nous parlent tant.
11. nous ne savons pas si la peine de mort fait baisser le taux de criminalité, mais ce dont on est sûr, c’est qu’elle ne le fait pas monter ! Son impact n’est certainement pas nul. Choisissons donc la solution dont nous sommes sûrs.
12. ce n’est pas être contre les droits de l’homme que d’être pour la peine de mort, puisque la perpétuité bafoue les droits et la dignité de l’homme (575 pers. en ‘98)
13. beaucoup de pays dits ‘non- démocratiques’ ont aboli la peine de mort : Angola (1992), Azerbaïdjian (1998), Croatie (1990) , Équateur (1906), Georgie (1997), Haïti (1987), Honduras (1956), Lithuanie (1998), Mozambique (1990), Namibie (1990), Népal (1997), Nicaragua (1979), Roumanie (1989), Timor Oriental (1999), etc (source écart-type) ; Turquie (2002)
14. des pays dits démocratiques ont encore la peine de mort (les Etats-Unis surtout, pour certains Etats, ainsi que le Japon)
15. on fait de l’assassin la victime, en s’occupant de lui et en lui trouvant des excuses (passé, éducation, etc)
16. mieux vaut consacrer les ressources limitées dont notre société dispose (hommes, temps, argent, etc) pour développer celles et ceux qui n’ont fait de mal à personne et qui le méritent largement plus, que de s’occuper des anciens meurtriers et violeurs, pour qu’ils reviennent dans le bon chemin.
17. les crimes commis qui font mériter la peine de mort permettent-ils encore de considérer l’assassin comme un être humain ? Les droits de l’homme ne peuvent par conséquent plus être invoqués quand on parle de peine de mort.
18. une erreur judiciaire est une erreur judiciaire. Un condamné à mort par erreur n’est pas pire, loin de là, qu’un condamné à perpétuité par erreur. La question de la condamnation des innocents n’est pas celle de la peine de mort, mais de la faillibilité de la justice.
19. , Oeil pour oeil, dent pour dent.
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La peine de mort : Maroc
Peine de mort : Suspendue
Date de la dernière execution : 1993
Le système juridique du Maroc est basé sur la loi islamique, française et espagnole. L'article 16 du Code pénal marocain prévoit la peine de mort par fusillade pour l’homicide aggravé, la torture, le vol à main armée, l’incendie criminel, la trahison, la désertion, et enfin l’attentat à la vie du roi. Mais en tout, le nombre de crimes passibles de la peine de mort est tellement élevé que les juristes ne s’entendent pas sur leur nombre. Pour l’avocat Mohamed Ahaddaf, il y aurait 361 cas recensés où la sentence peut aller jusqu’à la mort, alors que le chiffre s’élève à 1176 selon maître Abdellah el Oualladi, et que d’autres sources affirment que le nombre de crimes passibles de la peine capitale est de 866.
Au-delà de ces chiffres, on constate que les juges marocains prononcent la peine de mort avec une relative retenue. Malgré le nombre élevé de crimes passibles de la peine de mort, depuis l’indépendance du Maroc en 1956, et jusqu’en 1994, 198 condamnations à mort ont été prononcées. Fin 2006, dans les couloirs de la mort marocains, on comptait 129 condamnés.
La dernière exécution remonte à 1993. Le commissaire Tabet, chef des Renseignements à Casablanca, était accusé d’avoir violé des centaines de jeunes filles. Le roi Mohamed VI, arrivé au pouvoir en juillet 1999, n’a jamais signé de décret d’exécution. Le Maroc est donc considéré comme abolitionniste de fait.
Mais le pays condamne encore à la peine capitale. En mai 2003, suite aux attentats de Casablanca, qui ont coûté la vie à 45 personnes, le Maroc a adopté une loi anti-terroriste qui a augmenté le nombre de crimes passibles de la peine de mort. En décembre 2006, deux hommes ont été condamnés à mort pour des crimes liés au terrorisme. Alors qu’en août 2005, plus de 900 personnes étaient emprisonnées pour des crimes liés au terrorisme, dont 17 avaient été condamnés à mort. Le terrorisme semble donc aujourd’hui être l’un des obstacles à l’abolition de la peine de mort au Maroc.
La grâce est une prérogative constitutionnelle du Souverain. Le 18 novembre 2005, 50ème anniversaire du retour d’exil de son grand-père Mohamed V, le roi Mohamed VI a accordé le pardon à 10 000 personnes, dont 5000 ont été relâchées, tandis que les autres voyaient leur sentence réduite. Parmi les réductions de peine, 25 condamnations à mort ont été commuées en prison à vie. De manière générale, le souverain Mohamed VI a très largement recours au droit de grâce depuis son arrivée au pouvoir.
Depuis 2003, la société civile s’est fortement engagée dans le combat pour l’abolition de la peine de mort. Le 10 octobre 2003, Journée mondiale contre la peine de mort, est née la Coalition marocaine contre la peine de mort, qui regroupe sept associations phares de la société civile marocaine. Elle a permis que naisse un débat sur la peine de mort, largement relayé par les médias.
Côté politique, des avancées marquantes ont été engagées. En août 2003, le ministre marocain de la Justice déclarait : « Je serais parmi ceux qui applaudiront quand la peine de mort sera abrogée au Maroc ». En 2005, le ministre a confirmé sa position, lorsqu’il a été interpellé par une députée sur la question. Il s’est alors prononcé pour une abolition par étapes, en avançant que la société marocaine n’était pas encore prête à franchir le pas. Plusieurs partis politiques se sont également déclarés favorables à l’abolition de la peine de mort. Notamment le Front des forces démocratiques, qui a présenté un projet de loi abolitionniste. Et l’USFP, parti socialiste marocain, qui s’est prononcé pour l’abolition le 10 novembre 2006.
Malgré de nombreuses avancées, les condamnations à mort se poursuivent au Maroc, essentiellement pour des crimes terroristes, mais également pour meurtre, début 2007.
Le Maroc a ratifié le Pacte international sur les droits civils et politiques, la Convention sur les Droits de l’Enfant, la Convention contre la Torture et les traitements et punitions cruels, inhumains ou dégradants, et signé le Statut de la Cour Pénale Internationale (qui interdit le recours à la peine de mort).
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